|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]
|
|
|
|
Démagogie et tartufferies
26/01/2010 11:21
Mr Briois nous refait le coup de la personnalité politique proche des citoyens, partageant leurs soucis quotidiens, faisant mine de s’intéresser aux heurs et malheurs de la population. Ce matin c’est la fermeture programmée prochainement de la raffinerie de pétrole de Dunkerque qui est à l’honneur. Outre que Mr Briois n’a que faire de cette raffinerie et de son personnel, comme il se fout en général des entreprises régionales et de leurs employées, il est assez amusant de constater que le leader de l’extrême droite s’essaie à la compassion, sentiment dont il est toutefois dépourvu.
Que connaît donc l’ « enfant du Pays » (né à Seclin) des aspirations du peuple héninois ? Vit-il avec lui ? Dans les même conditions que lui ? Gagne t’il durement sa pitance quotidienne comme nous tous ?
Autant de questions dont nous connaissons les réponses ! Car la réalité est hélas tout autre. Mr Briois est avant tout un professionnel de la politique et malgré ses critiques du « système », force est de constater qu’il en vit très bien. Certainement salarié du FN, comme tous les cadres (les militants apprécieront), il perçoit également un revenu comme Conseiller Régional. Bref, il est avant tout un parfait représentant de cette caste politique qu’il vilipende pourtant quotidiennement. Il est le stéréotype de cette bourgeoisie bon ton qui hante les coulisses du FN, vivant à 1000 lieux de nos problèmes quotidiens. Mr Briois est ce membre d’une caste de privilégiés qui pour exister, n’hésite pas à user de moyens retors et autres tartufferies. Une caste que l’esprit de 1789 aurait eu tôt fait d’éradiquer. Quand donc notre chère République se décidera t’elle à en finir avec ce parti qui, décidément et quoiqu’en dise certains, n’est vraiment pas un parti comme les autres. Pour nous, pas de tergiversation : le FN c’est le parti du renoncement, le parti des nantis de l’ancien régime, pour faire court, un parti aux antipodes de la vision que nous avons pour
la France , celle qui animait le Général De Gaulle, « une certaine idée de
la France » que DLR entretient encore aujourd’hui.
Le Comité DLR
|
Commentaire de question (27/01/2010 01:27) :
Vous affirmez que Steeve Briois est salarié du FN. Comment pouvez vous
affirmer cela ?
|
|
Commentaire de DLR CR (27/01/2010 04:12) :
à question,
Nous ne l'affirmons pas, mais suite à plusieurs demandes de notre part
intimant Mr Briois de justifier de ses revenus et en réponse, le silence
sépulcral qui en a découlé, nous sommes venus à la conclusion que notre
thèse selon laquelle Mr Briois serait employé par le FN est juste.
Maintenant,si vous avez plus d'infos qui viendrait contredire notre
thèse alors n'hésitez pas à nous les transmettre et aprés
vérification, nous ferions notre méa culpa. C'est ce silence sur ses
activités qui crée la suspiscion. Chez nous, c'est clair, notre
délégué est employé et ne vit que de son métier. Cela ne l'empêche pas
de se vouer quotidiennement à la vie de notre circonscription.
|
|
Commentaire de question (27/01/2010 17:51) :
Briois n'est pas salarié du FN, il l'a deja dit à maintes
reprises sur son blog. Il ne vit que de ses indemnités d'élu (comme
90% des élus en France) . Maintenant, pourquoi n'exigez vous pas de
savoir de quoi vit Pierre Ferrari ?
|
|
Commentaire de DLR CR (28/01/2010 05:23) :
Ferrari n'est pas élu... Nous ne voyons donc pas le rapport ! En
revanche, vous me confirmez que Mr Briois est bien un professionnel de la
politique comme les 90 % de politique qu'il dénonce hypocritement.
|
|
Commentaire de eric (29/01/2010 00:57) :
Comme Dupont aignant.....
|
|
Commentaire de DLR CR (29/01/2010 04:19) :
à éric,
Bien sur, il est en disponibilité de son poste, mais à l'inverse de
vous, il ne passe pas son temps à dire que la classe politique est ceci ou
cela et, dans la coulisse, à agir comme cette classe honnie. Ce n'est
pas le cas de la majorité des élus du FN qui ne cesse de nous la jouer
"chevalier blanc" mais qui dans l'ombre grapille sans sourciller, tous
les prébendes prodigués par la République.
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Libéralisation de l’électricité = spoliation du patrimoine national !
25/01/2010 15:48
Les habitués de ce blog n’ignorent pas que j’ai toujours combattu l’ouverture à la concurrence du marché français de l’énergie, quitte à admettre dans ces conditions que nos énergéticiens devraient modérer leurs prises de participation et interventions sur le marché de nos voisins européens.
Pour mémoire, je rappellerai les arguments principaux qui motivent ce refus : l’énergie, ressource vitale et non-stockable pour ce qui concerne l’électricité, nécessite de gigantesques investissements que ne peut supporter la sphère privée, et doit être accessible au plus grand nombre à un tarif bon-marché, pour servir l’efficacité économique comme la justice sociale. Bref, ressource d’intérêt général, elle doit demeurer sous contrôle étatique et constituer un service public national de première importance.
Or, la capitulation de Jacques Chirac et Lionel Jospin au sommet de Barcelone en mars 2002, qui a vu la France accepter, en dernier et à contrecœur, l’ouverture à la concurrence de son marché de l’énergie, remet frontalement en cause le service public de l’énergie inventé à la Libération, lequel a assuré tant l’indépendance énergétique de notre pays que son développement économique durant les Trente Glorieuses.
Ce qui est menacé au cœur du service public, ce sont les tarifs administrés bon-marché (fixés par l’Etat), rendus possible par l’avantage comparatif tout à fait loyal que constitue notre industrie électronucléaire. Nos voisins produisant une énergie beaucoup plus chère en l’absence de centrales nucléaires, il est concrètement impossible à leurs opérateurs de s’aligner sur les tarifs administrés français, ce qui rend toute concurrence impossible.
La Commission de Bruxelles, comme nos gouvernants, le savent. Ils tournent donc autour du pot depuis juillet 2007 (date officielle de l’ouverture à la concurrence en France), tentant petit à petit de transformer EDF en multinationale alignant, à la hausse, ses tarifs sur ceux de ses concurrents. Le sujet est bien entendu explosif, 95% des particuliers étant sagement restés aux tarifs administrés en toute connaissance de cause. Dès lors, nos ultralibéraux de Bruxelles et Paris ont imaginé un système tordu pour contourner l’obstacle : au lieu d’abolir les tarifs administrés, brutalement ou progressivement au nom de la concurrence, ils ont mis au point un tour de passe-passe qui est un vrai scandale. Il s’agit de mettre à la disposition des concurrents d’EDF en France pas moins de 30% de l’électricité nucléaire au coût de production, afin que ceux-ci puissent s’aligner sur le tarif administré.
« Jusque ici, se dira-t-on, tout va bien, puisque ce sera indolore pour le consommateur… » Et bien non, car en réalité cette vente à perte par EDF à ses concurrents va entraîner un manque à gagner pour l’entreprise, qui va le répercuter sur… le tarif administré, ainsi appelé à augmenter pour s’approcher progressivement du prix du marché européen ! C’est notamment pour cette raison que les PDG successifs d’EDF, M. Gadonneix hier, M. Proglio aujourd’hui, réclament des hausses de 20 à 25% du tarif administré sur quelques années, prétextant des « investissements nouveaux ». Sur la forme, la méthode, sournoise, est détestable. Sur le fond, elle est inadmissible : vendre à prix coûtant à des opérateurs privés de l’électricité nucléaire - créée par les efforts du contribuable français depuis des décennies - revient à une spoliation pure et simple du patrimoine national au profit d’intérêts particuliers. Ce n’est même pas une privatisation où l’Etat réaliserait une bonne affaire financière, c’est une véritable braderie pour permettre au dogme de la concurrence de triompher, sur le dos des usagers bien sûr. Avant, on payait peu cher une électricité publique, demain on paiera de plus en cher une électricité spoliée par quelques grands féodaux, à seule fin de rémunérer des actionnaires avides et des salaires astronomiques de dirigeants et cadres dirigeants !
A ceux qui s’étonnent d’ailleurs de la maladresse apparente du pouvoir autour de l’arrivée d’Henri Proglio à la tête d’EDF, avec un salaire démesuré pour une entreprise publique et des responsabilités croisées au sein d’une autre entreprise au risque du conflit d’intérêt, la tentation est grande de dire que si l’Etat voulait peu à peu normaliser l’énergéticien public en multinationale comme les autres, il ne s’y prendrait pas autrement… Plusieurs syndicats, comme FO et la CGT, ont alerté sur ce qui apparaît comme une perspective de plus en plus probable. Il ne faut pas les regarder comme des bolcheviks le couteau entre les dents ! Même s’ils défendent parfois les intérêts de leurs professions, auxquelles des efforts de meilleure gestion pourraient être demandés pour sauver l’entreprise publique (et non la privatiser), j’estime que leurs mises en garde doivent être prises au sérieux.
En tout cas, qu’on ne compte pas sur moi pour voter au Parlement une loi qui spoliera les Français de leur patrimoine national, avant qu’on ne le leur fasse payer une seconde fois par des hausses de tarifs correspondantes !
NDA
| |
|
|
|
|
|
|
|
NDA invité d’Europe1
25/01/2010 15:45
Nicolas Dupont-Aignan sera l’invité de Patrick Cohen & Claude Askolovitch sur Europe 1 le lundi 25 janvier à 18h40.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Inévitable taxe carbone aux frontières...
25/01/2010 15:41
La porte étroite de la taxe carbone aux frontières
Par PHILIPPE MARTIN professeur à Sciences-Po. Libération, mardi 15 décembre 2009
La politique commerciale s’est invitée aux discussions de Copenhague, avec une déclaration très vigoureuse des pays émergents contre toute taxe aux frontières qui frapperait le contenu en CO2 de leurs exportations. Celle-ci n’est pas envisagée dans le cadre des négociations mais fait partie des scénarios possibles en cas d’engagements trop modestes des pays émergents.
L’instauration d’une taxe aux frontières est légitime sur le plan économique, écologique et juridique, mais pose des problèmes politiques épineux. On sait que limiter les émissions de CO2 nécessite de mettre un prix sur ce qui jusqu’ici était gratuit. Que ce prix prenne la forme d’une taxe sur les émissions ou qu’il soit déterminé par un marché d’échange où seraient alloués en quantité limitée des quotas de pollution est grosso modo équivalent. Quoi qu’il arrive, on ne parviendra pas, hélas, à l’institution d’un prix unique élevé du CO2 au niveau mondial. Une taxe sur les importations des pays qui refuseraient d’instaurer un tel prix permettrait de se rapprocher d’un prix unique du CO2 sur les biens produits nationalement et importés.
Lorsque l’Europe augmente, même modestement, le coût du CO2 de manière unilatérale, deux problèmes se posent, l’un écologique, l’autre économique. Le premier connu sous le nom de « fuite de carbone » peut sembler paradoxal. L’émission de CO2 diminue bien en Europe à la fois parce que les entreprises sont incitées à ne pas polluer et parce que d’autres cessent leurs activités. Mais certaines entreprises délocalisent leur production dans des pays sans taxe CO2 et sont, elles, incitées à polluer davantage, par unité produite, qu’elles ne le faisaient en Europe. Les produits exportés par la Chine entraînent ainsi quatre fois plus d’émissions de CO2 que les exportations européennes. Au total, il est donc possible qu’en déplaçant la production vers des pays avec des méthodes de production « sales », une mesure nationale unilatérale anti-CO2 augmente l’émission mondiale de CO2. Outre ce coût écologique, les pertes de compétitivité et d’emploi de mesures unilatérales limitent d’autant l’ardeur écologique des gouvernements, comme le montrent les engagements bien modestes de l’Europe et davantage encore des Etats-Unis.
Les études suggèrent que la « fuite de carbone » peut être importante dans certains secteurs et plus forte à long terme qu’à court terme. En moyenne cependant, l’augmentation de pollution dans les pays émergents n’est pas suffisamment forte pour remettre en cause l’effet positif de taxes carbone unilatérales. Les pertes de compétitivité et d’emploi dans les secteurs voraces en énergie ne sont en revanche pas négligeables.
L’instauration d’une taxe sur les importations des pays qui ne mettent pas en place de mesures anti-CO2 est donc légitime à la fois sur le plan écologique et économique.
La seconde option est moins dure mais du coup ne règle pas parfaitement le problème écologique et économique que la taxe aux frontières est censée résoudre. L’instauration d’une taxe d’ajustement aux frontières n’est pas sans danger sur le plan politique au moment où les négociations risquent de se transformer en conflit entre le Nord et le Sud. Le plus évident est qu’elle soit utilisée comme arme protectionniste contre les pays à bas salaire. Il n’aura échappé à personne que les pays qui polluent le plus par unité produite sont aussi des pays à bas salaires. Il est donc tentant de jouer sur cette confusion. Une solution serait de reverser le revenu de ces taxes aux pays exportateurs pour financer des technologies propres sur le carbone, ou mieux encore de baisser, en échange, les tarifs sur d’autres importations en provenance de ces pays. Si la taxe aux frontières sur le CO2 ne trouve pour principaux défenseurs que les lobbys industriels et les protectionnistes, on peut être assuré qu’elle ne verra jamais le jour.
Philippe Martin est professeur d’économie à Sciences-Po.

| |
|
|
|
|
|
|
|
"Le 14 mars osez voter pour nous… VOTEZ POUR VOUS !!"
25/01/2010 15:27
Régionales : Dupont-Aignan fustige UMP, PS, Verts et veut "créer l’évenement"
24/01/2010 17h19 GMT - POLITIQUE-PARTIS-DLR-RÉGIONALES - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 24 janvier 2010 (AFP) - Le président de Debout la République (DLR), Nicolas Dupont-Aignan, a fustigé dimanche les "impostures" de l’UMP, du PS et des Verts et appelé à "créer l’évenement" aux élections régionales de mars en défendant un projet "concret, immédiat" et "moins coûteux".
"Notre projet est radicalement différent de celui des autres listes car il vise tout simplement à répondre aux préoccupations quotidiennes de nos concitoyens", a défendu le président de DLR, tête de liste en Ile-de-France, en présentant ses listes dimanche.
Il a appelé à "créer l’événement" le 14 mars (1er tour des régionales), dans un discours transmis à la presse, en défendant des propositions "moins coûteuses" pour les franciliens.
M. Dupont-Aignan a en outre proposé l’ouverture de "bandes d’arrêt d’urgences aux bus et aux taxis", la "suppression des zones" dans les transports en commun, et un "tarif unique de 50 euros pour le passe Navigo".
Qualifiant les Verts de "soixante-huitards attardés, totalitaires et libertaires", il a aussi attaqué "l’imposture de l’UMP" et son projet du Grand Paris "qui se résume à une société d’économie mixte qui réalisera un nouveau métro et organisera à son profit la spéculation immobilière autour des gares".
Le député de l’Essonne et maire d’Yerres (Essonne) a aussi fustigé "le PS du Conseil Régional d’Ile-de-France qui a ronronné, (...) une torpeur qui a coûté très cher aux franciliens, +46% d’impôts".
| |
|
|
|
|